Très mauvaise année 2016 à tous

Cet article a été publié il y a 8 ans 3 mois 25 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées.

Fidèle à ce que j’avais annoncé la semaine dernière, il est temps de vous adresser mes « voeux » pour 2016. On s’était donc souhaité le meilleur pour 2015, et vu l’année qu’on a passé, entre attentats en Janvier, débilité homophobe en Mars, chômage explosant annihilant toute cohésion sociale, déconnexion toujours plus assumée de nos « dirigeants » dirigés, explosion des migrations forcées par des guerres que l’on ne veut pas assumer d’avoir encouragé après les « printemps » de 2011 et l’explosion de la Syrie, avec une explosion de la visibilité du racisme crasseux qui pourrit la France de l’intérieur, re-attentats en Novembre, qui en a remis une couche, sans parler des différentes lois liberticides que le président qui se prétendait normal n’arrête pas de laisser voter soit disant pour protéger la démocratie qui n’existe déjà plus dans notre pays.

Il est donc temps de vous souhaiter le pire, en espérant que la théorie des inverses se confirme. Que n’a-t-on donc pas eu en 2015 ? Ebola, en France tout du moins. Toujours plus d’attentats évidemment, histoire que les parisiens restent cloîtrés chez eux, et qu’enfin les terroristes s’attaquent aux campagnes françaises, dont l’ignorance crasse de la réalité du monde en dehors de leur landernau leur éclate à la gueule. Une nouvelle crise du pétrole, qui pourra arriver simplement avec une prise de conscience écologique des producteurs de pétrole (oui je sais on peut rêver non ?), qui arrêteront de détruire le sous-sol et se mettront à la production solaire et éolienne. Le problème devenant alors la production des batteries, trop polluante à l’heure actuelle, pour stocker l’énergie produite. Ben oui vous croyez quoi, que l’énergie renouvelable réglait tous les problèmes ?

Bon là c’est général, ça vaut pour tout le monde, à titre plus personnel, j’espère voir chez mes proches encore plus de divorces (ou de simples séparations, le mariage étant de plus en plus optionnel), de suicides, de pertes d’emploi, pire encore, d’actes racistes et homophobes pour ceux qui sont concernés, de maladies graves évidemment (ça rejoint Ebola, qui peut tomber sur tout le monde), pertes de proches, enfin voilà. Je pourrais être plus sadique, en vous souhaitant de vivre une bonne guerre comme les réfugiés de Syrie ont fui. Et/ou une bonne famine qui va avec, qu’on prenne la pleine mesure du gaspillage global des ressources de Mère Nature. Mais j’en ai déjà fait assez.

Bref, vous avez compris (du moins j’espère, mais le second degré échappe à trop de monde manifestement), j’ai beaucoup vomi en 2015, j’ai pas envie de recommencer en 2016.